Coups de cœur
Je te vous toi
Réinvention de la poésie amoureuse à travers le jeu des pronoms. Elégance et sensualité du vous au moment où il passe au tu.
Les turbines du Titanic
Un roman qui nous replonge dans la Yougoslavie d'avant la guerre. Un retour, souvent avec beaucoup d'humour, sur l'esprit de cette époque et notamment sur l'auto-gestion en place dans certaines industries. Tout cela suit un rythme captivant. Très bonne traduction par ailleurs.
Un homme sans titre
Tendre et émouvant portrait d'un père faisant partie des damnés de la terre et qui pourtant a su transmettre sa dignité. Nous aurons la chance d'accueillir Xavier Le Clerc à la librairie le 3 mars prochain.
Oh, Canada
Le dernier Russell banks, et son testament.
Requiem pour la classe moyenne
De retour de vacances, la voiture glisse sans encombres sur la route, quand Etienne, marié, deux enfants, apprend la mort du chanteur Jean-Jacques Goldman.
Ecrire la vie
Tout Annie Ernaux, prix Nobel de Littérature 2022, dans ce Quarto à ne pas manquer.
journal russe
Deux géants américains, l'écrivain John Steinbeck et le photographe Robert Capa passent quarante jours en URSS.
Mokhtar et le figuier
Récit d'une enfance pauvre en Algérie, qui montre à hauteur d'enfant les traditions et les modes de vie de ces paysans des douars autour d'Alger. Le figuier qui pousse dans la cour des grands parents du narrateur, offre en plus de son ombre et de ses fruits, la permanence du mystère de la vie.
Qu'on leur donne le chaos/Let them eat chaos
Recueil de poèmes urbains mélancolique et désenchanté.
Moby Dick ou Le cachalot
Très belle édition illustrée de Moby Dick. Où l'on retrouve la lutte entre le marin Achab et un cachalot géant.
Ecrire la vie
Au moment où Annie Ernaux prononce son discours à Stochholm, coup de coeur pour Ecrire la vie qui rassemble une dizaine de ses romans les plus importants.
Conques, les vitraux de Soulages
Une présentation par l'artiste Pierre Soulages de la magnifique oeuvre que sont les vitraux de l'abbaye de Conques de Verrières, l'ouvrage est préfacé par Georges Duby